Devoir de cours Approches culturelles (Cutural Studies)

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Après avoir élu le premier président noir des États-Unis d’Amérique, la société occidentale pouvait penser que le racisme n’existe plus dans le monde contemporain. « Le politiquement correct » est un expression de plus en plus courante et devient les exigences minimales intouchables pour les « élites libéral». Comme la polémique et la réflexion autour du film « Green Book : Sur les routes du sud », la tendance dominant par des blancs contrôle la voix de s’exprimer, ce film créant un personnage noir atypique et les blagues basés en raciste. Effectivement, il y a un certain nombre d’œuvres au sujet de racisme. On voit pourtant très peu de réalisateur de « personne de couleur » qui s’exprime leur vraie sensation de nos jours. L’émergence de Get Out de Jordan Peele donne gifle à tous les non noirs en révélant l’hypocrite des blancs. Le racisme existe encore dans la vie de peuple afro-américain, il se sent même pas la sécurité dans la société américaine actuelle.

La mutité des noirs

Get out ne raconte pas une histoire d’esclave noir apprivoisé par un fermier blanc, comme la période de suprématisme blanc dans le film Twelve Years a Slave. Il s’agit de représenter comment les posts-racistes s’appropriant le corps du noir de nos jours.

La première séquence de Get out, nous montre un jeune Afro-américain marchait dans le quartier « blanc » et a été kidnappé. Ensuite, Chris, un autre jeune noir, va aller avec sa copine chez ses beaux-parents blancs pour la première fois, une série de sentiments permanents de crise voile sa route. Jordan Peele transfère habilement la peur d’être noir à la peur tout d’être humain. Disparition dans la rue étrangère, première rencontre ses beaux-parents etc. Le spectateur n’est plus d’un observateur, on peut ressentir l’inquiètude de Chris étant noir.

Notre personnage noir est toujours dans une position incertaine face à ses beaux-parents et les autres invités. On n’arrive pas non plus déterminer si ces blancs sont racistes à cause de leur attitude extravagante ou conversation énigmatique . Quand le père de Rose dit qu’ il veut voter Obama pour la succession, l’attitude dominante est sous-entendue. Les blancs ont poli voire extra-poli pour les noirs, « on a voté un noir pour le président », « on a laissé les femmes à voter » etc., le « politiquement correct » cache une inégalité mentale par-derrière, c’est le raciste de l’autre forme.

En effet, on entend souvent la voix et la manifestation de gauche, de gauchiste, ils se substituent à la position de noir en ignorant le problème essentiel, c’est le manque de voix du noir et la perte de droite de parole dans la société. Les noirs sont en état de silence, de mutité. Ils sont visualisés comme la coquille vide possédée par des blancs. Quand le police demande ID de Chris, sa copine blanche Rose refuse de le montrer. On sait bien que la conséquence si un noir refuse de montrer son ID. À part de la raison que Rose veut cacher son crime, c’est en même temps un acte de déposséder la résistance du noir. Jordan Peele utilise un plan extraordinaire de chute dans le gouffre à représenter cette situation de mutité. Une fois que la mère psychiatre tape la tasse par la cuillère, Chris est tombé au fond de gouffre noir. Cela représente la disparition de voix afro-américaine dans la société américaine actuelle. Leur sentiment et la vraie pensée sont toujours ignorés par la tendance générale.

La seule parole hurle par un vrai noir dans le film est « Get out ! », quand Chris réveille la conscience de jeunes noirs possédés. C’est aussi le titre du film. Même la fin du film, Chris utilise le flash à réveiller le corps de noir possédé par grand-père, cet homme noir a tiré sur Rose et se suicide sans parole.

La possession par des blancs

La possession de corps du noir est l’origine de l’exploitation de corps du noir depuis le XVe siècle, ce désir de possession accompagnée parfois du sentiment de « divinisation ». Certains reportages et recherches scientifiques essayaient de prouver que les noirs sont fort en exercices physiques. Le film montre plein de séquences à suggérer cette « divinisation » pour l’endurance et la capacité physique chez les noirs. Un des invités demande directement à Rose la sexualité de Chris. Ou bien le grand-père de Rose est obsédé de corps du noir à cause de perdre le match de course avec un athlète noir. Après avoir possédé le corps du noir, il pratique tous les jours avec. En fait, ce ne peut pas prouver la valeur du groupe noir, sous-entend au contraire qu’il ne maîtrise pas bien le travail intellectuel, qu’il a justement la coquille vide.

Jordan Peele emprunte beaucoup de métaphore aussi à présenter l’hypocrite de blanc, qui est parfois inconscient. Quand un invité dit qu’il a vu Tiger Woods à Chris ou un homme asiatique lui demande son sentiment étant un Afro-américain etc. Peut-on dire qu’ils ne sont pas racistes quoiqu’il n’exprime pas du tout la discrimination? Non. En revanche, ce genre de cliché renforcé par la société est un racisme plus grave. C’est de l’ignorance du mépris pour un autre culture. Dominer le corps de l’autre et le rempli par leur propre cerveau. Le blanc exploite le corps du noir depuis longtemps, cette exploitation est profondément ancrée dans leur pensée, elle existe encore de l’autre manière d’aujourd’hui. À la fin de film, Chris s’échappe de l’hypnose en bouchant les oreilles par les cotons du canapé. L’esclave noir s’échappe finalement de la fatalité de cultiver les cotons. On ne sait pas si, ce n’est pas un hasard ou bien un intrigue métaphorique rédigée par le réalisateur.

La vengeance de histoire du cinéma

Même qu’on pense à Et l'homme créa la femme au niveau du scénario, ou bien La Porte des secrets étant un film d’horreur ou de suspens lorsqu’on voit ce film Get out. La demande de réalisateur s’accorde beaucoup avec Naissance d’une nation, car Get out ne s’agit pas seulement d’un film d’horreur mais un film politique, il est un film de vengeance du noir et pour les noirs.

On sait bien que Naissance d’une nation était un grand œuvre et la première utilisant le montage parallèle, qui a marqué au histoire du cinéma à l’époque. Pourtant, il révolte le mouvement social des dizaines années plus tard, à cause de sa discrimination et sa stigmatisation pour le groupe noir. Contrairement au le film muet de Griffith, Get out est un film avec plein de dialogues de gros mots. Jordan Peele se venge en « diabolisant » les blancs, qui kidnappe l’homme noir, creuse le cerveau de l’homme noir. Le « homie » policier de Chris arrive à la dernière minute à sauver la vie de noir. Ce n’est pas seulement de vengeance au histoire du cinéma dominant par les blancs, mais aussi dénoncer l’inégalité du fond de pensée. Jordan Peele utilise les éléments authentiques de la culture noire et maitrise bien à mobiliser la sensation du spectateur. Différencié le film d’horreur ou suspense classique, le réalisateur combine avec son expérience de la comédie de sorte que le film avance successivement entre la comique et le triller. Le succès de box-office du film a prouvé déjà le consentement du spectateur noir.

À l’inverse de « politiquement correct » annoncé par la Gauche, il y a des gens critiquent que le film du réalisateur noir puisse gagner le prix grâce à « politiquement correct ». Ce n’est pas du tout la peine de discuter ce sujet selon les réalisateurs Noirs. En effet, le film de Spike Lee nous a révélé déjà que l’intégration radicale ou l’exogamie sont impossibles, c’est juste un imaginaire de s’intégrer la communauté noire et blanche. La meilleure situation pour eux est de rester en paix. L’ambition de Get out de Jordan Peele ne reste pas de parler le problème de la communauté mais d’accuser le blanc post-raciste sous le dirigeant de Trump. Un an plus tard, BlacKkKlansman s’apparaît de même manière avec les personnages noirs positives et les traitres membres de K.K.K. Ces deux film ont finalement inversé les rôles noirs secondaires et les rôles blancs dominant dans le système Hollywood, c’est aussi une vengeance en présentant le « blancheur ».

L’émergence du réalisateur noir devant le public, avec le langage et le style originel du noir, est une voix forte et précise. On a pu finalement d’apercevoir ce groupe énorme en retrouvant leur voix perdue. Comme le critique du Cahiers du Cinéma pour ce film, « Mélange d’outrance et de réalisme, de comique et de terreur, "Get Out" évoque un vrai cauchemar dont il est temps de se réveiller. »


逃出绝命镇Get Out(2017)

又名:访‧吓(港)

上映日期:2017-01-23(圣丹斯电影节) / 2017-02-24(美国)片长:104分钟

主演:丹尼尔·卡卢亚 艾莉森·威廉姆斯 凯瑟琳·基纳 布莱德利·惠 

导演:乔丹·皮尔 编剧:乔丹·皮尔 Jordan Peele

逃出绝命镇的影评